SUJET : Entre matin calme et soleil levant (Corée du sud et Japon)

Merci pour les riches informations sur ces 2 destinations. Je reste aussi un peu rêveur ...... 7 semaines . Et comme Bernard, j'adore tes vidéos!

Merci à tous
J'ai encore pas mal de vidéos en stock

Changement de temple pour rejoindre l'un des plus fameux, Bulguksa, où les animaux, tantôt locaux, tantôt issus de la mythologie, ne sont pas tous animés

Plus vivant cette fois

Nous sommes près de la côte et partons voir si quelques oiseaux marins sont observables...

Les eaux qui entourent la Corée sont relativement poissonneuses donc riches en mammifère marin.... Malheureusement nous n'avons trouvé aucune compagnie proposant d'aller à leur rencontre
Suite à quelques recherches, à défaut de bateau, c'est un pont qui fera notre bonheur. Celui ci enjambe le bras de mer qui sépare le continent de l'île de Namhae où, souvent, une espèce singulière de marsouin aiment à passer en quête de nourriture





Avec un mètre et demi pour soixante kilogrammes, cette espèce de couleur sombre, dépourvue d'aileron, évolue le plus souvent en groupe d'une demi-douzaine d'individus.

Après une trentaine de minutes, un petit groupe passe sous le pont

Beaux bulbul et goéland, merci, Romain. Pour une fois, ta vidéo n'est pas aussi "parlante" que je l'aurais souhaité, mais je me suis bien consolé avec tes photos de dragon, éléphant et félin, même si leurs noms binominaux sont absents

Merci Bernard

C'est vrai que contrairement aux dauphins plutôt joueurs, ces marsouins ne sont pas très "expressives"

Je vais essayé de m'appliquer davantage dans les identifications de nos amis boisés

Fin de notre séjour coréen... Oui oui, ça passe très vite mais nous prenons déjà la route de Séoul avec un dernier stop en route dans la ville de Daegeon où, pour changer, nous visitons le temple de Gyeryongsan et tentons de croiser quelques uns de ses habitants.

Autour des temples, des pies

De nuit, nous prenons la route en direction des lacs de Seosan, haut-lieu pour les oiseaux pendant la migration. Ici, plusieurs espèces souvent discrètes sont vbisibles: Chat léopard de l'Amur (rare), chien viverrin (assez commun) et Hydropote, le seul que nous aurons la chance de croiser

L'hydropote, ou chevreuil des marais est un petit cervidé d'une quinzaine de kilos dont les mâles ne possèdent pas de bois mais de longues canines utiles pendant les combats .

Merci pour les photos de piafous et autres. Ses canines de vampire ne donneraient pas forcément envie de faire pote avec l'Hydropote, mais ce doit être un chic type une fois connu; non ?

Les temples ornés d'un bestiaire fabuleux semblent vraiment très intéressants. Je me reconnaîtrais bien dans l'animisme, moi aussi !
Les canines de l'hydropote rappellent les crocs que portent parfois les chevreuils, non ?
Superbe la pie bleue à calotte noire exotique la pie bavarde !

Merci !!

un chic type une fois connu; non ?

Très agréable en effet, il m'a bien laissé le temps de l'observer

Les canines de l'hydropote rappellent les crocs que portent parfois les chevreuils, non ?

Tu dois surement parler des porte musc qui en possèdent de bien longue également, ce sont de proches cousins des cervidés.

Notre séjour coréen prend fin, en plus d'une histoire fabuleuse et riche nous avons pu croiser la plupart des mammifères que nous cherchions.... Seul la sous-espèce de chat léopard et le lièvre coréen n'ont pas daigné nous saluer mais nous repasserons surement pour les découvrir, eux et les autres merveilles que possède ce pays

En route pour le Japon

Deux petites heures de vol et nous voici au pays du soleil levant (qui se cache derrière de nombreux nuages ) où nous commençons par découvrir le parc de Ueno, petit poumon vert, où quelques oiseaux se montrent . Nous y avons déjà passer deux jours au début du séjour afin de faire traduire notre permis qui nous permet d'avoir un véhicule (pratique pour rouler de nuits en quête de bébêtes )

Le Japon, avec une superficie proche de celle de l'Allemagne, se compose de près de 7000 îles disséminés sur une surface proche de celle de l'Europe. Ce vaste ensemble géologiquement tourmenté produit une variété importante de climats où des animaux tantôt tropicaux, tantôt polaires se croisent. Bien qu'aujourd'hui isolé au large du continent Eurasiatique, le Japon a, à de multiples reprises, bénéficié de passages terrestres ou glacés qui lui ont permis de rassembler nombre de mammifères que nous avons cherché, comme d'habitude, à croiser

Bien que le printemps soit la saison privilégier du tourisme en raison des températures clémentes et des cerisiers en fleurs, nous avons choisis l'été et ses températures caniculaires accompagnés d'une forte humidité pour partir à la recherche de la faune. Saison peu favorable pour les oiseaux qui peuvent facilement se cacher dans l’épais feuillage des arbres, c'est en revanche une bonne saison pour rencontrer les animaux qui sortent la nuits afin de profiter des températures plus supportables.

Notre route commence par la ville de Nikko, à deux heures de la capitale.





De nuit quelques visiteurs