SUJET : Couleurs du Kruger

Choueeette! Un carnet sur le Kruger, quelques paysages me sont familiers
Ca me rappelle de bons souvenirs tout ça, en plus les photos sont tops!

A nouveau sur les bords de la rivière Sabie :

82. Crocodile du Nil (Crocodylus niloticus)



83. Héron cendré (Ardea cinerea)

Beau Rufipenne et toujours aussi mignon, le Céphalophe de Grimm !

C'est toujours un plaisir de retrouver tous ces animaux du Kruger, et pas que, en photos !! Tu as fait de belles rencontres dis donc ! Comme le ratel, je savais même pas qu'il y avait un animal qui s'appellait comme ça !
Incontournable le Lake Panic, il n'y a pas de doutes...

Merci à vous !

Pour finir rapidement cette première visite (car la deuxième fournée est déjà prête !) : d'abord des herbivores.

84. Buffle d'Afrique (Syncerus caffer)



85. Zèbre de Burchell (Equus quagga)

Et des carnivores : un couple de lions qui dorment et dont le mâle ouvre à peine les yeux quand on s'arrête devant lui.

86-87. Lion d'Afrique (Panthera leo)

Enfin, une meute de Lycaons, bien fatigués eux aussi.

88-89. Lycaon (Lycaon pictus)

Des lycaons, on fait vraiment tout pour me tenter ! Eh bien, je vais le dire, c'est... totalement réussi

II. L es premières pluies ont fini par tomber. Ce sont de grosses pluies, rares et espacées. Elles ont permis de reverdir un peu le parc, surtout dans le sud, mais la chaleur reste très forte. L'évaporation des points d'eau continue et n'est pas compensée par les précipitations. En témoigne ce point d'eau, ou plutôt de boue liquide, où s'est réfugié un Hippopotame.

90. Hippopotame (Hippopotamus amphibius)



Devant lui, des dizaines de gros poissons (probablement des poisson-chats) se tortillent pour aller chercher le peu d'oxygène qui reste. Ça ne se voit pas sur les photos, mais leurs mouvements créaient des reflets brillants tout autour de l'Hippo qui semblait baigner dans des paillettes.

91. Hippopotame (Hippopotamus amphibius) et Poissons-chats (Clarias gariepinus)



Pas loin, un Pygargue veille pour profiter de l'aubaine sans avoir trop d'efforts à faire...

92. Pygargue vocifer (Haliaeetus vocifer)

Si les pluies ne sont pas encore très régulières, leur arrivée a quand même provoqué la mise bas chez les Impalas, là encore surtout dans le sud du parc. Plus au nord, on voit beaucoup de femelles encore grosses. Alors que les Impalas passent presque inaperçus en temps normal tellement ils sont communs au Kruger, tout le monde s'arrêtait pour admirer les petits. Ils n'étaient pas nés lors de mon dernier passage, ils ont donc 3 semaines maximum, moins pour certains car les mises bas continuent. Malheureusement, nous n'en avons pas été témoins. Quand ils ne suivent pas leur mère au centimètre, ils restent ensemble dans des crèches.

93-96. Impala (Aepyceros melampus)

Un Rollier d'Europe qui se régale d'un mille-pattes, plonge au sol pour attraper un autre insecte, et se repose plus près pour une meilleure photo, merci.

97-98. Rollier d'Europe (Coracias garrulus)

Ce n'est pas le seul à apprécier les myriapodes, qui sont également au menu de ce Martin-chasseur.

99-100. Martin-chasseur du Sénégal (Halcyon senegalensis)

Le soir, on loge de nouveau à Lower Sabie; on arrive suffisamment tôt pour profiter du coucher du soleil. Mais comme la dernière fois, pas grand-chose à se mettre sous l'objectif. Je commence à croire que la réputation de ce camp est surfaite. Je prends quand même ces Aigrettes garzettes, qui ne sont pas si fréquentes au Kruger.

101. Aigrette garzette (Egretta garzetta)



Le lendemain, petit exercice matinal d'étirement pour cette Hirondelle.

102-103. Hirondelle à ventre roux (Cecropis semirufa)

A part quelques bébés Zèbres qu'on avait vus dès le mois dernier, les Impalas semblent les seuls à avoir eu leur petit. On voit quelques jeunes, mais qui sont plutôt de l'année dernière, comme ce Grand Koudou mâle "ado" dont les cornes commencent à pousser.

104-105. Grand Koudou (Tragelaphus strepsiceros)

Dans le même genre, on rencontre un troupeau de Nyalas, avec des individus de tous les âges. Intéressant de noter la transformation :

106-108. Nyala (Tragelaphus angasii)

Un jeune (impossible de dire si c'est un mâle ou une femelle)



Un mâle adolescent : son pelage devient plus foncé, ses cornes et ses poils poussent (le timide n'a pas voulu sortir de ses broussailles)



Un mâle adulte, avec son pelage définitif et sa barbe