SUJET : Chimpanzés, Bec-en-sabot et autres bestioles... d'Ouganda

Je rattrape mon retard, j'ai suivi vos histoires africaines. Toujours un petit goût amer...
Magnifique le huppard et que dire du bec en sabot. Quel regard, quel bec,

Toujours un régal de te suivre

Les dernières sont fabuleuses, j'adore les petites gouttelettes qui tombent du sabot sur la 184, Magnifique

Stop! arrêtez !! c'est insupportable, je n'en peux plus !.......... trop de belles photos !
Portraits, paysages, ombres, contre jour etc...
Le bec en sabot est et il n'est pas seul !

Patrice écrit: Ce matin, nous devons rejoindre les marais de Mabamba

[...]

Rapidement, nous trouvons... un bec-en-sabot ! Magnifique ! Le Graal (comme dit Bernard, et je suis bien d'accord) !!
Il est là, tout près ! Nous sommes heureux !

L'oiseau est en pleine chasse, il bouge peu, marche à grands pas de temps à autre mais le plus souvent scrute l'eau, immobile. Nous sommes parfois trop près, c'est le comble, mais l'oiseau s'approche de nous sans aucune crainte, tout occupé à sa pêche. Nous pourrons ainsi le photographier sous toutes les coutures !

Nous vous faisons partager notre plaisir, qui fut immense ce matin-là !

183, 184, 185, 186 & 187 - Bec-en-sabot du Nil - Balaeniceps rex - Shoebill

Quelle chance (méritée, la chance, ça se mérite, s'pas ?) vous avez eue, Véronique et Patrice, de côtoyer cette merveille, ce fossile vivant et volant. C'est, c'est... les mots me manquent ! Surlecuté, je suis... Ce bec-en-sabot est d'anthologie, quelle laideur/beauté, quel regard, quelle présence !

Merci pour ce partage somptueux !

Qu'ajouter ?
J'en suis muette, et vous avez placé la barre très haut pour les photos ! Rien que cette série sur l'oiseau-star justifierait à elle seule l'ensemble du voyage, et en tout cas fait oublier les petites mésaventures précédentes.
Bravo pour avoir su profiter pleinement, ô combien, de cette belle occasion

Catherine, Bernard, Marc, Romain, Mime, merci !

Nous avons eu tellement de plaisir à photographier cet oiseau extraordinaire que nous avons regretté de ne pas avoir programmé plusieurs jours de suite dans ces marais ! J'avoue que pour notre dernière sortie photo, nous avons été gâtés !

Alors, puisque vous avez aimé et que nous avons adoré, j'en remets une couche !

Après avoir passé environ deux heures avec celui-ci, il finira par s'envoler.

Plus loin, nous découvrons un autre bec-en-sabot, couché dans les fougères. Nous ne verrons que sa tête, était-il en train de couver ? Nous resterons peu de temps afin de ne pas le déranger.









Nous terminons cette sortie en nous enfonçant dans des petits canaux, en espérant voir d'autres oiseaux.

Je suis comblé ! Bon, je ne dis pas que je tordrais le nez devant une troisième, quatrième ou cinquième couche, mais je suis comblé ! Surlecuté ! Ébarnouflé ! 1

Elle est pas mal la cravate à pois du Bec-en-sabot

Tellement baba que j avais oublié de commenter. un plus pour la 193!

Magnifique marais avec son symbole le plus impressionnant

Merci Bernard, Mime, Jean-Christophe et Romain !
J'ai bien aimé "la cravate à pois" de Michel

Je reprends le fil de ce carnet maintenant que me voilà de retour de Namur

Après avoir passé des heures à admirer l'oiseau mythique, le roi des marais dans toute sa superbe, nous reprenons doucement le chemin du retour, en nous enfonçant dans les petits canaux transverses de l'immense marais. Rien de mieux que de rentrer par le chemin des écoliers... pour découvrir toute la richesse de cet écosystème.















Pour le suivant, je ne suis pas sûr à 100% de mon identification :

Drôlement sympa aussi les petits copains du Bec-en-sabot !

Pour le suivant, je ne suis pas sûr à 100% de mon identification :

Ce n'est pas un indicateur, bec bien trop fin, et patron de la queue non conforme.
Ce doit être un Gobemouche des marais. Je vérifie...
[edit] GM des marais confirmé.

Merci Catherine pour cette rectification nécessaire !
Et je m'aperçois d'une grosse bourde, le héron n'est pas un Goliath évidemment mais un héron pourpré (je dois être fatigué...)
Désolé pour cette erreur, je te laisse corriger car je n'ai plus la main.